Jadis on demandait à des pigeons de porter des messages, aujourd'hui c'est ce jeune goéland qui vous porte le mien à l'effet que je vais m'absenter de P-A pendant quelques semaines.
Vient un temps où on est forcé de réaliser qu'on est perdant à trop vouloir éparpiller ses efforts.
Je vous fais mes amitiés et vous dis à bientôt, j'espère.

Il y a quelque temps, cet as de la danse sur rambarde insistait pour me donner des cours. J'ai pris quelques semaines pour réfléchir à la question et c'est non.
- Connaissez-vous quelqu'un de vos proches que ce style de danse intéresserait, me demanda-t-il.
- Peut-être, mais c'est non pour elle aussi. Elle en sait déjà trop sur la question.

Bonne semaine, mes ami(e)s !

Colette a eu un mot charmant un jour sur les insectes. Elle l'aurait pu l'avoir au sujet des goélands qui rodent souvent près des gens qui pique-niquent.
* * *
«On peut espérer que, lorsqu'ils seront les maitres du monde, les insectes se souviendront avec reconnaissance que nous les avons plutot bien nourris lors de nos pique-niques.» (Colette)

En surpopulation dans toutes les villes du Québec, ils sont devenus source de pollution et il est interdit de les nourrir. Il n'en demeure pas moins que ce sont de beaux oiseaux...

À Tewkesbury, au nord de Québec, un groupe de copains s'étaient dit : «On s'appelle on déjeune...»



Bonne semaine, les ami(e)s !