Gaston fait des bisous à ses marraines, sa petite Plume, sa filleule Berthine et tous les amis de P-A. Pour bien démarrer la journée, il a une tit' blagounette à nous raconter.
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Un type va rendre visite à un copain amateur de peintures. Il regarde les tableaux aux murs, ils sont tous signés Yvonne. Yvonne, Yvonne... Perplexe, il dit à son copain:
- Dis donc, ils sont superbes ces tableaux, on dirait des Velazquez.
- Oui, ce sont des Velasquez !
- Mais ils sont signés Yvonne.
- Ben... j'ai eu des revers de fortune et on m'a conseillé de tout mettre mes avoirs au nom de ma femme.
J'ai des voisines qui n'ont pas de chance, elles craignent les chats comme la peste. Et j'ai parfois l'impression que Gaston l'a compris.
- Qu'est-ce qu'elle a la dame d'en haut à me regarder avec ces yeux bizarres, maman ?
- Elle a peur des chats, mon matou.
- Hen ? Elle a peur de moi ? Attends un peu, je vais lui faire du charme et la pauvre va voir sa vie changer du tout au tout.
- Euh... peut-être, Galou, mais le charme ça se fait avec des yeux doux. Le regard que tu lui fais en ce moment risque de la faire se défenestrer...
Depuis quelques jours, le nounours est très copain avec Kali. Non seulement il ne l'évince pas quand elle grimpe sur le lit pour y passer la nuit, il l'encourage même à dormir à son côté et à lui lécher la frimousse si le coeur lui en dit. Il fait même plus, il lui raconte des histoires de souris pour lui plaire.
Merci, chers amis de PA, pour l'affection que vous témoignez à Gaston en laissant de nombreux commentaires sous ses photos. Leur lecture est source des plus vifs plaisirs de ma journée.
Gaston cherche en vain les chardonnerets qui sont venus nous sérénader il y a quelques semaines. Nos nuits fraîches les auraient-elles chassés du Québec plus tôt que la normale ? En tous cas ce qu'on lui offre comme spectacles dans l'arbre est un peu moche, un peu comme... Lisons plutôt sa petite histoire.
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Lors d'un spectacle, un magicien fait monter sur scène un garçonnet pour réaliser un de ses tours.
- Tu ne me connais pas hein ? C'est la première fois que tu me vois, n'est-ce-pas ?
Le garçonnet hoche timidement la tête.
- Voudrais-tu le dire à tout le monde ?
- Oui papa.
Chers amis de PA, le chant des chardonnerets manque peut-être à Gaston, mais vos commentaires et vos sélections, en lui permettant d'être élu Roi du Jour, lui ont rendu le sourire. En son nom et au mien, merci de nous avoir fait ce plaisir immense. Bon week-end à vous et vos zamours.
Gaston fait ses bisous à ses marraines, sa petite Plume, sa filleule Berthine, ses taties et tous les amis de PA et leur souhaite une excellente semaine.
Il ne résiste pas à l'envie de nous raconter une tit' blagounette.
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Un type vient de lire un article sur le Kama-Soutra. Timidement il suggère à sa femme:
- Chérie, ce serait peut-être bien ce soir si... euh... on faisait les choses différemment ?
- Tout à fait d'accord, répond la femme. Toi tu vas te tenir devant l'évier et laver la vaisselle pendant que, moi, je me vautrerai sur le canapé en regardant la télé.
«Cette photo a été prise il y a une quinzaine, les amis. C'était avant que je perde du poids. J'ai un tout autre visage depuis que j'ai perdu mes 2 grammes...»
Bon week-end, mes marraines Dominique et Isabelle !
Bon week-end, ma merveilleuse filleule Berthine !
Bon week-end, ma petite Plume que j'aime comme Charlebois !
- Hen Galou ? Tu aimes Plume comme Charlebois ?
- Ben oui, comme il dit dans sa chanson 'J't'aime comme un fou' lalala lalou..
Gaston a dormi tout l'après-midi sur le balcon. Il vient à peine d'ouvrir l'oeil que sa maman décide que c'est l'heure de rentrer.
- Allez, mon Galou, il faut rentrer.
- T'es pas sérieuse maman, j'ai pas profité de ma sortie, je dormais !
- Ça c'est vrai... Bercé par la brise et le chant des oiseaux tu dormais comme un loir.
- Pourquoi tu ne m'as pas transporté dans la chambre ?
- Parce que t'aurais moins bien dormi dans la chambre, Gaston.
- Justement ! Je me serais réveillé et vite fait je serais venu dormir sur le balcon !
- On tourne en rond là !
- Peut-être, mais on est sur le balcon, maman.
Gaston a dit à sa maman ce matin.
- On joue à faire comme si, maman. Tu es psy et moi, étendu sur le lit, je suis ton client.
- D'accord Galou ! Et alors, M. Gaston, dites-moi quel est votre problème.
- Je suis persécuté, maman.
- Ça commence mal. Tu veux dire que tu souffres du complexe de la persécution, c'est ça ?
- Non-non, je SUIS persécuté ! Par mes deux soeurs, la belette et la princesse de Sibérie.
- Si tu parles de Mischa, elle n'a jamais mis les pieds en Sibérie.
- Pardon, mais c'est elle qui me l'a affirmé. Quand je lui ai dit que j'en avais assez de trouver partout les poils de sa mue, elle m'a dit qu'en Sibérie les manteaux comme le sien étaient très recherchés.
- Ah bon ! Ta séance est terminée, matou. Fais venir ta mythomane de soeur à présent !
Le nounours n'entend pas souvent parler de religion, mais ce qu'il entend il a bien du mal à comprendre. Un peu comme cette petite qui revient du catéchisme...
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- Dis, maman, qu'elle demande à sa mère. Où est-ce qu'elle la connu le bon Dieu, sa petite amie ?
La mère sursaute:
- Le bon Dieu a une petite amie ? Quelle petite amie ?
- Clémence.
- Je ne comprends rien à ce que tu me racontes, fait la maman. Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
- Eh bien oui ! Le curé nous parle toujours du Bon Dieu et de sa grande Clémence !
«Marraine Isabelle, je te souhaite de très bonnes vacances et je t'aime très fort. »
J'ai une faiblesse, les amis, je ferais des bassesses pour me faire câliner pendant des heures par ma maman. Pour vous expliquer, tiens, je me mettrais volontiers à la place du chat de la petite histoire.
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Une dame s'installe sur son balcon et, à chaque fois que son petit garçon s'exerce au violon, se place de façon à ce qu'on la voit caresser son chat.
Intriguée par son manège, une voisine se décide à en chercher l'explication.
- C'est à cause de la SPA, explique la dame. Je ne voudrais pas qu'en entendant ces bruits déchirants, quelqu'un pense que je martyrise Hippolyte.
Gaston est allé à la fête de l'anniversaire de son cousin Réglisse est il a eu un plaisir fou ! Il est encore en train de se remettre de sa fatigue et leurs excès. Mais y a des anniversaires qui se terminent mal.
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Un type arrive au bureau le lendemain de l'anniversaire de son jeune fils. Un collègue lui demande, étonné:
- Pourquoi cet oeil au beurre noir ? Un voisin s'est plaint du bruit ?
- Pas du tout ! C'est mon fils...
- Comment, ton fils ? Qu'est-ce qu'il a ?
- Il n'était pas content parce que je lui ai offert des gants de boxe au lieu d'une console de jeu.
Gaston fait des bisous à sa petite Plume de même qu'à ses marraines Dominique et Isabelle et à tous les amis de PA. Il a une petite blague pour nous dérider.
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Le juge questionne un témoin avec curiosité:
- Avez-vous déjà été condamné ?
- Oh, non !
- Vous n'êtes jamais passé devant ce tribunal ?
- Absolument pas !
- C'est bizarre, mais votre visage m'est familier. Dites la vérité.
- Je suis barman au cabaret de strip-tease où vous passez régulièrement trois soirées par semaine...
Si le :-2 le pouvait, il afficherait un large sourire plutôt que l'air sérieux de sa photo. S'il pouvait parler, il vous dirait qu'il vous aime...
Je vous aime aussi, chers amis, et je vous remercie d'avoir manifesté votre appréciation pour cette photo de mon matou.
Gaston a maigri un peu. Sa maman le sait parce qu'elle n'a plus de noeuds à couper au bas du dos. Et il n'a pas eu à se mettre au vélo pour le faire
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Avant de partir en vacances, un type vient de s'acheter une bicyclette. Le vendeur lui dit:
- Pour 20 euros la paire, je vous recommande fortement ces pinces à pantalon.
- Inutiles ! en vacances je pédale toujours en short, coupe le client.
- C'est comme vous voulez, mais avec la tignasse que vous avez, en les utilisant pour retenir ce qui vous tombe sur les yeux elles vous empêcheraient de faire connaissance avec les bornes de la route.
Gaston a l'air sérieux comme ça, mais il a une petite histoire à nous raconter.
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Une fourmi, une cigale et un mille-pattes sont invités à déjeuner par un mulot. À l'heure dite, le mulot s'étonne:
- La fourmi et la cigale sont arrivées, mais où est le mille-pattes?
On décide de ne pas l'attendre et on passe à table de bon appétit.
Deux heures plus tard, en sortant, la cigale et la fourmi trouvent le mille-pattes sur le paillasson. Et il est furieux.
- Tout se serait bien passé si cet imbécile de mulot n'avait pas affiché sur sa porte: «prière d'essuyer ses pieds avant d'entrer.»
Les amis (amies), ma maman trouve qu'il fait trop chaud pour faire des photos. Elle nous a donné congé et elle puise dans ses vieux fichiers. Cette photo de moi date de l'année où j'ai fait mon entrée au primaire.
- Gaston ! Tu exagères et beaucoup... La photo date de l'été dernier.
- Le printemps 2005, peut-être maman ?
- Possible, matou !
- L'hiver 2005, je parie.
- Et puis après? tu ne gagnes rien de toute façon.
- Si je te mettais un harnais, mon matou, viendrais-tu faire une promenade dans le jardin ?
- Sûrement pas !
- Mais tu aimerais, j'en suis certaine, Galou. Tu pourrais sentir les fleurs, gober une mouche ou deux...
- Je me connais, maman, et je ne ferais rien de tout ça. Je ramperais sur mon ventre comme un ver de terre géant et nous serions aussi malheureux l'un que l'autre.
- C'est bien ce que je craignais... et tu pourrais attraper des puces... Bonjour, les problèmes ! On oublie ça, matou.
- Comme tu dis, maman. J'suis bien sur ma chaise.
Gaston souhaite un bon week-end à ses marraines chéries Dominique et Isabelle, à sa belle Plume et à tous les amis de PA. Pour nous faire démarrer le w.e. avec le sourire, il a une petite blague.
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Un couple célèbre son 25e anniversaire de mariage en passant une petite soirée romantique devant la télévision, les pieds sur le pouf. La femme soupire:
- En 25 ans de mariage, tu ne m'as jamais rien acheté !
Son mari lui répond:
- D'accord, mais toi tu ne m'as jamais rien vendu !
Le nounours est dans une forme splendide depuis qu'il a perdu ses 2 grammes. Il court après les filles (façon de parler, bien entendu), il a de plus en plus souvent son sourire de peluche accroché à la frimousse. Il ne lui viendrait pas à l'esprit de consulter un psy et pourtant il a un problème semblable au type de la petite histoire.
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Un type d'une quarantaine d'années est chez le psychanaliste.
- Mon problème, lui dit-il, c'est que ma mère n'a jamais cessé de me materner.
Le psy enchaîne:
- Puisqu'elle est là à vous tenir sur ses genoux, on va lui demander ce qu'elle en pense.