Et ne t'en fais pas, je serais toujours la pour toi, quoi qu'il en advienne. Tous tes malheurs, toutes tes misères passées, laisse-les derrière toi, jette-les. Sois forte, montre leur que tu en vaut la peine. Prouve-leur qu'ils avaient tord. Qu'ils étaient dans le faux. Je compte sur toi, et si tu as besoin de moi, surtout n'oublie pas, qu'au plus de ton coeur, je serais toujours la.
Et voila, moi qui ne voyait pas ma vie sans l'un de mes chiens je viens de me prendre deux gifles. La première causée par le décès de Lassie. Et la suivante par mon déménagement éclair, loin de Gaya. Si vous saviez tout ce que j'aurais été capable de sacrifier pour rester près d'elle.
Désolé pour la qualité dérisoire de cette photographie mais hier, tard dans le soir j'ai enfin pu revoir ma petit Gaya, bien endommagée par sa petite aventure... Gaya, berger australien pure race, née le 6 juin 2011, a été mère pour un jour d'une portée de 11chiots de père inconnu. Elle fut prise il y a quelques mois par un corniaud qui traîne souvent dans le coin du fait que ses propriétaires ne surveillent jamais leurs chiennes. Gaya ayant à peine 1 an, a éviter la mort de peu lors de la mise bas. Les petits, eux, ni ont pas échapper.. La cause ? Ils ne voulaient pas que leur chienne élèvent des corniauds. Gaya est aujourd'hui effroyablement maigre, ne joue plus et sort rarement de son garage, complètement bouleversée. Une brassée de courage pour surmontée tout ça ma Belle, je pense à toi.
Vous pourriez me couvrir de montagnes de présents, plus cher, plus imposant, plus fragile les uns que les autres. Rien, oh non rien, ne pourras me combler davantage que votre joie de vivre, votre énergie, votre passion, vos folies. Et c'est ici, qu'est mon véritable bonheur.
(Sur la douce mélodie de Nuvole Bianche de Ludovico Einaudi.)
J'aurais aimé t'aimer comme on aime le soleil. Te dire que le monde est beau et que c'est beau d'aimer. J'aurais aimer t'écrire,le plus beau des poèmes. Et construire un empire juste pour ton sourire. Devenir le soleil pour sécher tes sanglots. Et faire battre le ciel pour un futur plus beau. Mais c'est plus fort que moi, tu vois je n'y peux rien. Ce monde n'est pas pour moi, ce monde n'est pas le mien.