Quels sont ces insectes qui ressemblent à des guêpes et abeilles
Ce sont des syrphes, des espèces de mouche (Diptère) qui présentent un abdomen souvent de couleur noires et jaune qui les font ressembler de façon saisissante à des abeilles, des guêpes ou des bourdons. Mais contrairement à ces derniers, les syrphes n’ont pas de dard et ne peuvent donc piquer. On les voit souvent voltiger ou faire du vol stationnaire au-dessus des fleurs qu’ils butinent dans les jardins. En transportant du pollen de fleur en fleur, ils favorisent leur pollinisation.
En se faisant passer pour des abeilles, des guêpes ou des bourdons, les syrphes sont ainsi protégées car les prédateurs, comme les oiseaux, s’abstiennent le plus souvent de les capturer pour ne pas prendre le risque d’être piqué. Ce phénomène, appelé mimétisme, assure une protection aux syrphes.
Si vous faites bien attention, vous observerez que l’homme utilise les mêmes couleurs pour prévenir d’un danger : les panneaux d’avertissement rouges et jaunes, les voitures de pompier rouges, les feux de signalisation rouges et jaunes, etc.
Les larves ont une forme qui diffère selon les espèces : de type asticot, ovale, ou aquatiques avec l’extrémité postérieure prolongée par un long tube respiratoire ressemblant à une queue de rat. Selon les espèces, les larves vivent dans la végétation en décomposition ou sur les plantes, dans l’eau polluée, la charogne ou les excréments, ou dans les nids d’hyménoptères sociaux.
Plusieurs espèces de syrphes pondent des œufs sur les plantes de nos jardins, et lorsqu’on y regarde de plus près on observe qu’ils pondent souvent leurs œufs sur des plantes envahies de pucerons. La raison est simple, ils pondent sur le garde-manger des larves puisqu’elles se nourrissent de pucerons. Une larve peut en effet dévorer de 400 à 900 pucerons au cours de sa vie. Comme les coccinelles, ce sont donc des alliés dans la lutte biologique.
Quels sont ces insectes qui ressemblent à des guêpes et abeilles
Ce sont des syrphes, des espèces de mouche (Diptère) qui présentent un abdomen souvent de couleur noires et jaune qui les font ressembler de façon saisissante à des abeilles, des guêpes ou des bourdons. Mais contrairement à ces derniers, les syrphes n’ont pas de dard et ne peuvent donc piquer. On les voit souvent voltiger ou faire du vol stationnaire au-dessus des fleurs qu’ils butinent dans les jardins. En transportant du pollen de fleur en fleur, ils favorisent leur pollinisation.
En se faisant passer pour des abeilles, des guêpes ou des bourdons, les syrphes sont ainsi protégées car les prédateurs, comme les oiseaux, s’abstiennent le plus souvent de les capturer pour ne pas prendre le risque d’être piqué. Ce phénomène, appelé mimétisme, assure une protection aux syrphes.
Si vous faites bien attention, vous observerez que l’homme utilise les mêmes couleurs pour prévenir d’un danger : les panneaux d’avertissement rouges et jaunes, les voitures de pompier rouges, les feux de signalisation rouges et jaunes, etc.
Les larves ont une forme qui diffère selon les espèces : de type asticot, ovale, ou aquatiques avec l’extrémité postérieure prolongée par un long tube respiratoire ressemblant à une queue de rat. Selon les espèces, les larves vivent dans la végétation en décomposition ou sur les plantes, dans l’eau polluée, la charogne ou les excréments, ou dans les nids d’hyménoptères sociaux.
Plusieurs espèces de syrphes pondent des œufs sur les plantes de nos jardins, et lorsqu’on y regarde de plus près on observe qu’ils pondent souvent leurs œufs sur des plantes envahies de pucerons. La raison est simple, ils pondent sur le garde-manger des larves puisqu’elles se nourrissent de pucerons. Une larve peut en effet dévorer de 400 à 900 pucerons au cours de sa vie. Comme les coccinelles, ce sont donc des alliés dans la lutte biologique.