Mon mini-fauve en convalescence Ma Rustine reste à mon gout la plus photogénique des trois terreurs !

Rustine cet été.
Elle va un peu mieux, merci de vos messages d'encouragement.

"Pouah !!! Elles sont dégoutantes, tes croquettes !!! Ha non, je mange pas ça, moi !!! "


Rustine va un peu mieux. Le traitement semble faire son effet, espérons que cet effet soit durable. Merci à tous pour vos mots de soutien.

Pour information, Rustine ne boudait les croquettes, elle était en train d'en croquer une à pleines dents !

Rustine, qui commence à avoir une tête moins vilaine.
Pour se réchauffer le dos au soleil, le matin, elle a trouvé un nouveau perchoir qu'elle adore : Mon sèche-linge !!!








Guéris bien vite, petit amour.

P'tite Rustine toute malade.
Elle est gentille comme tout, docile, se laisse manipuler pour la médicaments, la températures, sans broncher. C'est un ange, cette pauvre petiote.

Rustine dort .... en se mordant la patte !!!!

J'ai faiiiiiiiimmm !!!!!!!!!

C'était en Janvier 2006 ; j'étais enceinte de 7mois et je sortais de la clinique avec pour ordre de rester couchée 1 mois 1/2 car je risquais d'accoucher bien trop tôt. C'était le soir, vers 10h, et malgré ma position allongée depuis déjà 15 bons jours, ce soir-là, des contractions se faisaient sentir.
Et puis ... Rustine est arrivée dans la chambre, toute ronronnante, elle qui n'était quasiment plus caline depuis le début de sa maladie. Elle est venue sous la couette, s'est installée contre mon ventre, et est restée comme ça, à ronronner. Alors, je me suis détendue, les contractions ont cessé, et j'ai même senti le bébé bouger un peu, reprendre ses aises, se blottir conte l'extérieur, contre ma Rustine ronronnante.



Aujourd'hui, Rustine est morte et Mélissande a 3 mois. Elle est née presque à terme et en excellente santé. Rustine aurait du avoir 3 ans cet été. Même si cette mort était prévisible puisque la maladie a commencé en septembre 2005 et n'a fait que s'aggraver, son absence me fait comme un coup de poignard dans le coeur, à chaque instant, quand je vois Jasmine ma terreur se rouler sur le lit, quand je vois le hamac vide, la gamelle de Rustine avec la dose de la demi-journée qu'elle n'avait pas mangé, l'appêtit coupé par la fièvre.