Je suis une petite femelle née le 22 juin au zoo des Sables et sur cette photo j'ai exactement un mois. Ma naissance, exceptionnelle, m'a valu de paraître dans la presse locale.
Pour l'instant maman et moi sommes isolées dans un enclos grillagé, au grand désespoir de ma photographe (dont la photo a été refusée sûrement pour cette raison) au milieu du grand enclos des tapirs, vigognes, capybaras et nandous.
À ma naissance j'étais déjà un beau bébé de 8 kilos.
Mon espèce est classée vulnérable sur la liste rouge de l'Union Mondiale de la Nature, victime de la chasse illégale et de la dégradation de son habitat. Pour cette raison et dans le but de conserver une population captive capable d'être réintroduite dans son milieu naturel l'association des parcs zoologiques européens a créé un plan d'élevage pour mon espèce. Celui-ci, dont fait partie le zoo des Sables consiste à gérer notre reproduction et à conseiller sur ses besoins spécifiques
(d'après LE JOURNAL DES SABLES 12/07)
Je suis une petite femelle née le 22 juin au zoo des Sables et sur cette photo j'ai exactement un mois. Ma naissance, exceptionnelle, m'a valu de paraître dans la presse locale.
Pour l'instant maman et moi sommes isolées dans un enclos grillagé, au grand désespoir de ma photographe (dont la photo a été refusée sûrement pour cette raison) au milieu du grand enclos des tapirs, vigognes, capybaras et nandous.
À ma naissance j'étais déjà un beau bébé de 8 kilos.
Mon espèce est classée vulnérable sur la liste rouge de l'Union Mondiale de la Nature, victime de la chasse illégale et de la dégradation de son habitat. Pour cette raison et dans le but de conserver une population captive capable d'être réintroduite dans son milieu naturel l'association des parcs zoologiques européens a créé un plan d'élevage pour mon espèce. Celui-ci, dont fait partie le zoo des Sables consiste à gérer notre reproduction et à conseiller sur ses besoins spécifiques
(d'après LE JOURNAL DES SABLES 12/07)