Bonjour mes amis. Il y a longtemps que je ne vous pas donné de mes nouvelles. J'aurai déjà 7 ans en novembre et, malgré quelques "cheveux" blancs, je me porte à merveille. Je suis toujours aussi enjouée.
Bonjour particulier à mes marraines Coque et Jessmira .
Et à mon tendre ami Cipo et sa maman Jenny (Lule).
Plume
Photo prise à Percé, en Gaspésie (Québec).
La marmotte est communément appelée Siffleux, à cause de son sifflet strident qui lui sert à avertir d'un danger. Elle fait partie des animaux rongeurs au même titre que la souris, le rat, l'écureuil etc...... Son corps est trapu, elle a de petites oreilles, et à ses pattes des griffes très puissantes et aussi coupantes que des ciseaux. La marmotte s'aménage un terrier profond avec différentes galeries pouvant y mener rapidement en cas de danger. Sa période de reproduction se passe en mars et avril. Le temps de gestation est de 32 jours, et elle n'a qu'une porté de 3-5 bébés par année. Les petits naissent sans poils et sont aveugles. A l'âge de deux semaines leur poil pousse, et à 3 semaines ils voient clair. Au cours de leur deuxième année ils sont matures sexuellement.
La marmotte est herbivore. Elle passe tout l'été à manger, du plantain, de la luzerne, du trèfle et des légumes, et se chauffer au soleil. Elle creuse son terrier d'hiver en dessous du niveau du gel. Il est tapissé d'herbes sèches. Durant l'été la marmotte mange au point de doubler son poids en prévision de l'hiver où elle dormira pendant 6 longs mois. Les fonctions de son corps seront au ralenti, ex: son coeur n'aura que 4-5 battements par minute. Cependant elle se réveillera quelquefois pour satisfaire ses besoins naturels. Plusieurs marmottes peuvent occuper le même terrier et se coller les unes contre les autres pour garder leur chaleur. Une légende veut que la marmotte sortant de son terrier et qui voit son ombre, signifie qu'il resterait 6 semaines d'hiver. Elle retournera dormir. Dans la réalité, la marmotte sort de son terrier au mois de mars et parfois plus tard. La marmotte est utile dans le sens que son terrier donne abri à des animaux à fourrure qui détruisent nombre d'animaux nuisibles comme le rat, le mulot, et les insectes. Ses prédateurs sont le chien, le renard roux, le coyote, le lynx et autres.
J'ai été bernée. Maman m'a dit "Viens-tu faire un tour en voiture?" Elle a ouvert la portière et je suis montée. De plus, le conducteur de cette voiture était nul autre qu'un petit copain de 4 ans. Je l'aime bien mais... de loin. Il est parfois brusque avec moi. Il ne le fait pas exprès mais je me méfie. Quel tour maman m'a joué!
Le "petit" nous fait voir nettement son évent sans souffle. Si près de nous qu'on ne pouvait le photographier en entier ! Ces quelques photos de baleines ne peuvent témoigner du sentiment qui nous habite en voyant ces mammifères majestueux si gracieux dans l'eau malgré leur taille. Je me suis sentie très privilégiée de pouvoir les examiner chez elles, dans leur élément naturel.
Maman.... penses-tu vraiment qu'avec cette photo, nos amis de PA vont croire que j'ai grimpé toute seule sur cette montagne de neige ? J'en doute. Regarde ma papatte en l'air... j'ai froid. Vous savez, maman aime bien les photos de toutous et minous dans la neige (Tenderkiss, Chinook, Charlie, Duchesse, Kanuk etc.). Alors une fois par année quand c'est l'hiver, je me laisse prendre en photo dans la neige pour faire plaisir à maman. Bon jeux à vous tous, qu'ils soient à l'intérieur ou à l'extérieur. Plume
L'ouragan Ophélia va laisser quelques petites traces chez nous. De fortes pluies sont prévues en début de week-end. Que pensez-vous que je vais faire en attendant que ça passe ?
Plume
P.S. Rassurez-vous, rien de grave, seulement de la pluie abondante, suite au passage le l'ouragan chez nos voisins américains.
J'aime bien la compagnie féline car habituellement ils sont de mon gabarit. Vous avez vu Fleuron Il est deux fois ma taille ! Nous avons repéré des oiseaux dans les cèdres. Je le surveille tout de même du coin de l'oeil pour ne pas qu'il abime les fines herbes de maman Je crois qu'il a eu peur de moi car je ne l'ai jamais revu.
Plume
Lulu : Plume se pense plus grande et plus féroce qu'elle ne l'est en réalité. Si Fleuron n'est pas revenu c'est que sa maîtresse a tout simplement déménagé l'été passé. Chutt ! Ne lui dites surtout pas.
Sanctuaire d'oiseaux de l'Ile Bonaventure.
L'aire de nidification du fou de Bassan est limitée à l'Atlantique nord et à la Mer du Nord. On en retrouve seulement six colonies en Amérique du Nord, toutes situées dans le golfe du St-Laurent et à l'est de Terre-Neuve. La plus grande colonie américaine, qui est aussi la plus grande colonie au monde avec plus de 32 000 couples, se trouve sur l'île Bonaventure, en Gaspésie. On trouve aussi des colonies dans les îles britaniques, en Islande, en Norvège et en Bretagne. Une fois la période de reproduction terminée, ils migrent vers le sud et se dispersent le long des côtes jusqu'au Golfe du Mexique et en Méditerranée (on compte quelques cas de nidifications sur les côtes françaises). La plus grosse colonie française se situe en Bretagne dans l'archipel des Sept Îles, sur l'île Rouzic.
L'île Bonaventure dans le golfe du Saint-Laurent au Québec abrite la plus importante colonie de fous de Bassan au monde avec plus de 121 000 oiseaux (en 2008), déclassant depuis peu l'archipel de Saint-Kilda en Écosse qui compte 119 000 oiseaux. À moins d'une catastrophe environnementale, l'île Bonaventure conservera longtemps son titre car la population de fous de Bassan y est en croissance de 3 % par année alors que celle de Saitnt-Kilda est stable.
L'archipel britannique de Saint-Kilda a longtemps été le lieu de nidification du fou de Bassan le plus important au monde. Le rocher de Stac Lee y abrite à lui seul plusieurs dizaines de milliers de ces oiseaux selon les estimations et comptages : 17 042, 40 000 ou encore 60 000 individus.
Très spectaculaires à observer, les fous de Bassan planent haut dans les airs avant de plonger comme des flèches dans la mer à grande vitesse (de l'ordre de 60 à 90 km/h) lorsqu'ils aperçoivent une proie (sa vue est si perçante que cet oiseau repère un banc de poissons à 40 mètres de hauteur). Cela crée une onde de choc qui assomme alors les poissons. Le fou n'a plus qu'à les avaler, avant même de regagner la surface. Ils remontent donc toujours le bec vide, ce qui leur a valu cette appellation de "fou", par les premiers pêcheurs qui les observèrent. Très puissants, et agiles en vol, ils sont cependant assez maladroits au décollage et à l'atterrissage. Ils se nourrissent surtout de petits poissons tels que le maquereau, le hareng, le capelan et le lançon, ainsi que de calmars.
Les fous de Bassan nichent en colonies denses sur les falaises et les îles rocheuses. Les couples demeurent ensemble pendant plusieurs saisons. Pendant leur parade nuptiale élaborée, ils se font la révérence, se frottent le bec et s'étirent le cou et les ailes. D'abord un simple tapis d'algues, de brindilles et de mousse, le nid se transforme avec les années en un véritable amoncellement de plumes, de déchets de poisson et d'excréments. La femelle y pond un seul œuf blanc bleuté, que les deux partenaires incubent à tour de rôle pendant environ 6 semaines.
Nourri par ses parents pendant 90 jours, le jeune fou de Bassan passe de 70 grammes à la naissance à 4 kilos.