Je ne connais pas la date de naissance exacte de Saphire. Cette petit chatte tricolore est arrivée dans ma vie un peu par hasard, en août 2004. Fille de chats haret ? chaton abandonné ? Le mystère reste entier. Nous avions un jeuen chat à ce moment là. C'est lui qui a trouvé Saphire et nous l'a ramenée. Squelettique, le poil abîmé, craintive de tout, et, surtout, handicapée d'une patte. Depuis, Saphire a bien changé. Douce compagne, mère attentionnée, c'est la reine de la maison.
A mon réveil, ce matin du samedi 14 mai 2011, une terrible nouvelle m'attendait . . .
Saphire ! Ma belle Saphire ! Pourquoi toi ? Pourquoi déjà ?
Toi, chatte probablement abandonnée à cause de ton handicap, qui m'a trouvée à l'été 2004. Si craintive, si mal en point . . . Je t'ai recueillie. Un lien très fort s'est créé entre nous deux. Une confiance telle que tu m'a littéralement donné ton premier né, le poussant du museau vers moi. Ce chaton, c'était Pacha, qui nous a quitté trop tôt lui aussi, en novembre 2008.
Ma douce Saphire aux grands yeux verts . . . un si beau regard . . . qui plus jamais, ne me fixera avec cette si touchante intensité.
La veille de tes 7 ans, une voiture a mis fin à tes jours.
Tu me manques tant, Saphire !
Cette photo est la dernière que j'aurais prise de toi . . .
A mon réveil, ce matin du samedi 14 mai 2011, une terrible nouvelle m'attendait . . .
Saphire ! Ma belle Saphire ! Pourquoi toi ? Pourquoi déjà ?
Toi, chatte probablement abandonnée à cause de ton handicap, qui m'a trouvée à l'été 2004. Si craintive, si mal en point . . . Je t'ai recueillie. Un lien très fort s'est créé entre nous deux. Une confiance telle que tu m'a littéralement donné ton premier né, le poussant du museau vers moi. Ce chaton, c'était Pacha, qui nous a quitté trop tôt lui aussi, en novembre 2008.
Ma douce Saphire aux grands yeux verts . . . un si beau regard . . . qui plus jamais, ne me fixera avec cette si touchante intensité.
La veille de tes 7 ans, une voiture a mis fin à tes jours.
Tu me manques tant, Saphire !
Cette photo est la dernière que j'aurais prise de toi . . .