Je rends ici un dernier hommage à mon chien - Amour de ma vie.
Indiana, très vite rebaptisé Indy puis Didy, a partagé ma vie pendant 10 ans, 1 mois et 10 jours. J'ai profité de chaque seconde passée avec lui.
Il était super cool, joueur, attachant... parfois rebelle et c'est ça qui faisait son charme. J'aimais son caractère frondeur avec ce regard tellement parlant lorsqu'il n'était pas d'accord avec moi. Nous étions, je pense pouvoir le dire, assez fusionnels. Nous nous comprenions d'un seul regard : bien souvent, je n'avais pas besoin de parler.
Dans me moments de tristesse, il était là, me rassurant juste par sa présence moelleuse, chaude et douce. Quand son museau soulevait mon coude à la recherche d'une caresse, c'était magique (parce qu'entre autre, il ne le faisait jamais lorsque j'avais un verre ou autre chose dans la main !!!).
Les mots n'arriveront jamais à décrire combien je l'aimais, je l'aime et je l'aimerai.
Il est parti rejoindre Socrate au Paradis des chiens (c'est en tout cas le dernier ordre que je lui ai donné, et j'espère qu'il aura obéit )
Ces cendres seront enterrées (avec Socrate) au printemps prochain par mes soins dans la terre de la campagne ardennaise où il a passé ses premières vacances (octobre 1997) et ses dernières vacances avec Lulue (juillet 2007). Cette terre est particulièrement chère à mon coeur.
Indy, nous te pleurons tous : Manue, Aurélia, mes parents, mon frère, Pierre et Eliane, Dominique, Marie, Valérie et tous les autres ainsi que Lulue, Panik (les "femmes" de Didy !), Leïa, Doudou, Féline, Youki, Téquila, Nickie, Vix, Youki, Darius... j'en passe et des meilleurs.
Tu es parti avec un bout de mon coeur, avec un bout de NOS coeurs.
C'est dur d'écrire ces mots. Je n'aurai jamais pensé avoir à les écrire si tôt...
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime.
Cette coquine m'a réveillée à 6h du mat' en frôlant mes cheveux
Je dormai, bien sûr ! Elle a du se laisser enfermer la veille au soir, à notre insu...
On a réussit à la faire sortir en douceur de la maison.
Puis elle s'est posée 2 minutes au sol, juste le temps pour moi de la prendre en photo puis elle s'est envolée vers un habitat plus idoine
Ouf ! Mais quelle aventure !!!
Mon amour aurait 11 ans demain, 02 août.
Petite anecdocte :
Cette photo a été prise au Colorado de Rustrel (Vaucluse) en 2005. J'avais demandé à Indy de rester assis et de ne pas bouger, le temps que je prenne la photo. Une dame arrive avec son mari. Elle nous observe et dit à son mari (avec un accent du midi très prononcé) : "Vé, Maurice ! Le chìen, i pose comme un mannequìn" !!!
Et elle avait raison !!! Indy en avait souvent marre des séances de pose, mais finalement, se laissait faire...
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Je ne t'oublierai jamais, mon coeur. Tu me manques terriblement. Je t'aime
Les moments où Indy se laisse photographier sont de plus en plus rares car il en a assez de me voir approcher de lui avec l'appareil photo !!!
Là, ça tombait bien, car son attention était attirée par une petite fille qui jouait au ballon...
Il guettait sans doute le moment où le ballon allait lui arriver tout droit dans la gueule !!!
Alors voici Lucien, qui s'est incrusté à une soirée-barbecue pendant les vacances. Il faut dire qu'il pleuvait un peu et que, si pour nous le temps était "dégueu", pour lui, il était parfait !!!
Il a eu de la chance d'être un crapaud et non une grenouille, sinon... il passait à la broche !!!!
Noooooooooooooon, je rigoooooooooooooole bien sûr !!!
Des nouvelles de Ramiéro :
il couve toujours sur la fenêtre de ma cuisine. Je ne vois jamais Palomba mais elle doit venir car, au fil des jours, le "nid" s'enrichie de petites brindilles. Elles sont agencées en rond et donne à ce pot des allures de cocon douillet...
Mimi, non ?
NB : Indy ne les a pas encore vraiment repérés. Il se doute de qq chose car, des fois, il regarde attentivement la fenêtre, attend.... mais les pigeons sont malins : ils ne bougent pas et attendent qu'il s'en aille. Ouf ! Le danger est écarté !
Lucien s'essaye au free-ride sur le mur de la maison...