C'est ta maman humaine (mon ancienne voisine) qui m'a appris que tu as été emportée le jour de la Pentecôte par une tumeur cancéreuse qui a grossi très vite.
Tu étais très affectueuse, joueuse, aboyeuse, très attachante.
À mes yeux tu n'avais qu'un seul défaut : tu n'aimais pas les chats et quand tu déboulais sur la terrasse, de l'autre côté de la séparation, en aboyant comme une malade, Dilane, terrorisée, filait se planquer sous le lit.
Photo de juin 2013 prise dans la zone rocheuse, au bout de notre rue.
Tout en envoyant mes ronrons je surveille Goé là-haut sur la cheminée qui se bat avec ses plumes.
Au revoir Dénia
C'est ta maman humaine (mon ancienne voisine) qui m'a appris que tu as été emportée le jour de la Pentecôte par une tumeur cancéreuse qui a grossi très vite.
Tu étais très affectueuse, joueuse, aboyeuse, très attachante.
À mes yeux tu n'avais qu'un seul défaut : tu n'aimais pas les chats et quand tu déboulais sur la terrasse, de l'autre côté de la séparation, en aboyant comme une malade, Dilane, terrorisée, filait se planquer sous le lit.
Photo de juin 2013 prise dans la zone rocheuse, au bout de notre rue.