Bonjour,mes amis et...merci pour vos ondes positives! J'ai retrouve l'appetit et ca va beaucoup mieux mais...je suis toujours enfermee et on ne me laisse sortir que tres peu Je fais mon cinema,je pleure,je gratte sous les portes Rien a faire!On me repete qu'il fait froid et que je suis mieux au chaud....
Houm
Mais non mes ti-choux c'est pas à vous que je fais çà voyons j'oserai pas mais ma belle Prisca veux même pas me faire un calin il parait que Hoop lui aurait dit que je regardais un peu trop les jolies petites sur le site c'est même pas vrai d'abord
Je vous envois pleins de bisous tendres calinous à Marraine Nirvana
Votre Miakou
Kali se rappelle les événements qui l'ont amené à vivre autour de la cathédrale Notre-Dame à Paris.
«Un jour, les ami(e)s, M. Victor Hugo, pour qui je chassais les souris de sa bibliothèque, m'amena avec lui de bon matin. Il me confia à une amie, Esacralda pendant qu'il irait à un rendez-vous. Esalmalda avait des copains, un de ceux-là s'appelait Quasimodo. Il chantait sans arret. J'appris du chat d'Esa... que Quasimodo venait du Québec, ce pays où tout le monde chante. «Pas étonnant, expliqua-t-il, on commence à faire Star Academy quand on est tout bébé là-bas.»
Charlot-la-peluche, le copain de Kali, joue les gardiens durant son sommeil. Il m'a fait les gros yeux quand il m'a vu arriver avec l'appareil-photo.
« Il faut la laisser dormir, a-t-il protesté, Kali est très fatiguée. Chasser le ballon rose et les boulettes de papier, c'est éreintant.»
J'ai été tentée de lui répondre. «En passant, quand elle les chasse, c'est parce que JE les ai lancés, Charlot. Ai-je droit moi aussi à ta considération ?» Mais je me suis retenue: j'aurais l'air de quoi si on me voyait parler à un nounours ?
Gaston reprend le fil de sa vie chez les Labuche en Alaska.
«Le Shérif s'est trouvé un emploi comme boueur, histoire de se refaire une santé financière. Quand je le croisais, il détournait rapidement le regard. Moi, j'étais confortable chez les Labuche. Laura m'adorait. Georges W. était un curieux type. Il se rendait au travail armé d'une carabine. Chacun de son coté, nous chassions. Moi les oiseaux, lui le grizzli. Un jour que je ramenai à Laura un oiseau que j'avais capturé, il me fit mettre à genoux pour demander pardon à Dieu. Le soir meme lui alla chasser le grizzli qu'il voulait faire empailler.
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Ah la la... C'est pas possible...Une vraie vie de chien...Nan mais je vous jure, il y a des moments où je voudrais vraiment dépasser ma condition...Sinon bisous à vous tous amis de PA!