Quand je l'ai aperçue le 5 septembre, Éloise affichait la curiosité des bons vivants. Juchée sur son promontoire, elle regardait défiler ses copains canards et une poignée de cygnes, sa tete se baladant de droite à gauche comme les spectateurs à Roland-Garros.
Quand je l'ai aperçue le 5 septembre, Éloise affichait la curiosité des bons vivants. Juchée sur son promontoire, elle regardait défiler ses copains canards et une poignée de cygnes, sa tete se baladant de droite à gauche comme les spectateurs à Roland-Garros.