Quand mes yeux vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant se tournent doucement
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux,vivantes opales
Qui me contemplent fixement. charles baudelaire
Quand mes yeux vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant se tournent doucement
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux,vivantes opales
Qui me contemplent fixement. charles baudelaire