Le livre de la vie est le livre suprême
Qu'on ne peut ni fermer, ni ouvrir à son choix ;
Le passage attachant ne s'y lit pas deux fois,
Mais le feuillet fatal se tourne ne lui même ;
On voudrait revenir à la page où l'on aime,
Et la page où l'on meurt est déjà sous vos doigts.
Alphonse Martine.
Tu me manques déjà et pourtant tu viens juste de me quitter en cette nuit.
Le livre de la vie est le livre suprême
Qu'on ne peut ni fermer, ni ouvrir à son choix ;
Le passage attachant ne s'y lit pas deux fois,
Mais le feuillet fatal se tourne ne lui même ;
On voudrait revenir à la page où l'on aime,
Et la page où l'on meurt est déjà sous vos doigts.
Alphonse Martine.
Tu me manques déjà et pourtant tu viens juste de me quitter en cette nuit.