Merci mon chien, pour ces 7 années de joie, de complicité, d’échanges. Bien sur c’est trop peu, cette vilaine tumeur t’a abattu alors que tu avais encore tant à donner. Ton énergie, ta joie de vivre étaient communicatives.
A la maison tu savais te montrer discret et attentif. Tu connaissais mes humeurs. Un simple échange de regard et tu savais ce que j’attendais de toi, tu savais le moment où c’était bon de faire le câlin.
Au travail tu ne m’as donné que des satisfactions. Bien sur j’étais fâché quand, sur le terrain, tu te baladais en reniflant les poteaux et en levant la patte au lieu de revenir au pied.
Mais tu t’arrangeais toujours pour bien rattraper le coup.
L’eau, ton élément, tu ne t’en es pas privé. le jet, la rivière, l’étang, la mer, partout tu t’explosais. Et les traits de lumière tu savais toujours où les trouver pour les poursuivre.
Merci mon chien, pour ces 7 années de joie, de complicité, d’échanges. Bien sur c’est trop peu, cette vilaine tumeur t’a abattu alors que tu avais encore tant à donner. Ton énergie, ta joie de vivre étaient communicatives.
A la maison tu savais te montrer discret et attentif. Tu connaissais mes humeurs. Un simple échange de regard et tu savais ce que j’attendais de toi, tu savais le moment où c’était bon de faire le câlin.
Au travail tu ne m’as donné que des satisfactions. Bien sur j’étais fâché quand, sur le terrain, tu te baladais en reniflant les poteaux et en levant la patte au lieu de revenir au pied.
Mais tu t’arrangeais toujours pour bien rattraper le coup.
L’eau, ton élément, tu ne t’en es pas privé. le jet, la rivière, l’étang, la mer, partout tu t’explosais. Et les traits de lumière tu savais toujours où les trouver pour les poursuivre.
Longue vie à toi au royaume des chiens